quelques toiles:
quelques photos:
quelques dessins:
quelques poèmes:
L'aura de mon cœurAimer souffrir
Oublier guérir
Je ne suis pas une machine
Ne me brise pas, belle épine
Toi la rose
Tout est prose
Quand tu me fais valser
Sous ton parfum je dois rêver
Il a fallu
J'ai failli
Je t'ai perdu
Je crève ici
L'absenceMon amour ferme et sombre
Se noie ici dans l'ombre
Car chaque fois je succombe
Là, je me vois je tombe
Sans toi mon temps est songe
Il se lasse il ronge
Notre union sans une onde
Aide bien ma haine qui gronde
Dans tes bras tout s'éteint
Même ma haine sans fin
Aide moi, je ne crains
Que vaine soit ta main
D'absence je suis emprunt
Les amants perdusSortir d’un rêve pour, arriver à un autre
Telle est la destinée des amants perdus
Plongés en fusion, ils en sont les apôtres
D’un monde troublant, d’un sentiment peu menu
Ils soulèvent l’espace qui les exhorte
S’entremêlant avec faiblesse et force
La moindre différence amène à une porte,
Qui les oblige à quitter leurs écorces
Le pouvoir de s’aimer est entre leurs mains
L’avenir montrera les routes du destin
Où l’homme est l’eau, et la femme, une rose
un peu de prose:
Euphorièl(le) Cet être au nom rempli d’une douceur extrême, d’une pureté exemplaire, n’est autre qu’allégorie de la perfection dont je serai toujours jaloux ; autant que Lucifel, son frère jumeaux, pourtant première beauté enviée, aurait voulu tant de fois lui arracher son authenticité.
Cette aura pour laquelle personne n’a su trouver mot laisse entendre l’idée qu’une euphorie collective se produit déjà à son unique présence.
« Faux » est le terme qu’il veut éviter quant à sa description, ce simple mot lui enlève son sourire naturel.
Il rit des visions qui le font rêver, il pleure des idées qui le transpercent, il s’amuse à se transporter dans tout les corps, et les esprits, pour comprendre ce qu’il vit.
Ce son mouillé est semblable à une embrassade langoureuse, entre deux tourtereaux timides et passionnés à en crever.
Euphoriel, dont le nom, si bref soit-il dans le cœur des gens, il n’a guère de sexe, car de son sang, affluent les anges de l’occulte, descendance sacrée d’êtres hybrides souvent craints à cause de la versatilité de leurs apparences.
Lui, le chemin qui me sera toujours enlevé, n’a d’autre but que d’être le mien. Il est l’incarnation de ma destinée, la personnification unifiée de mon tout.
La force de son individualité le renvois à ta solitude non désirée. Si personne ne l’aime il voudra mourir seul, tel un papillon sans taches distinctives.
Tes yeux turquoises ascendant noir cachent les sept vérités les plus surprenantes et décadentes.
Son regard nous emporte dans les songes les plus apaisants, son amour nous fait perdre la tête, tant il est fort et honnête.
Ses cheveux sont les eaux douces et où les hippocampes aiment se cacher, son cœur est un océan, un univers profondément infini.
Euphoriel, ange dont la passion pour la féminité a fait ses preuves, il les berce une à une jusqu’à ce qu’elles le jettent comme une poussière parmi tant d’autres.
Le turquoise de ses ailes est la symbiose d’un bleu mélancolique et d’un vert eucalyptus.
Lui, dont la seule survie dépend de l’amour qu’on lui laisse le droit de porter, il se bat de jour en jour contre l’oubli. La nuit seule, lui apporte au chevet, les pouvoirs de régénération dont il dépend.
Il attend constamment la venue de l’effleurement sacré, qui le transformera en astre pur, dirigeant son aide vers celle qu’il attends depuis le commencement.
Supportant la peine de connaître son destin, il sait malgré tout qu’il la trouvera…
Voilà pour les sons:
http://www.myspace.com/synkhronetypeAu suivant!